Le produit bio est avant tout un marché dont la marge bénéficiaire est le but premier,
il n’y a pas de réelles volontés de créer ou ne serait ce que d’appliquer pleinement certaines exigences, bien souvent le minimum suffit.
Tant que nous n’aurons pas comme priorité la volonté de produire que ce dont on a besoin et de mètre en avant l’intérêt de l’humain dans l’environnement,
l’argent demeurera le seul moteur.
Pour moi cela est en premier lieu clairement un choix de société et à part une toute petite prise de conscience notable, tout reste à faire.
A nous de favoriser les vrais bonnes volontés
et ne surtout pas apporter crédit aux mercantiles dénués de véritable volonté de changement et qui ne comprennent qu’une chose, c’est que les affaires, c’est l’argent des autres.