« L’île monde dans l’œil des pesticides ». J’avais déjà longtemps compris que nous étions formatés par une logique d’existence immédiate qui nous rendait prisonnier de notre éphémère existence. Mais cet ouvrage m’a fait prendre conscience qu’avec cet empoisonnement supra-générationnel au chlordécone nous devons, pour une fois, sortir de notre rassurant périmètre de sécurité et nous projeter au-delà de notre existence égoïste.
Et ce n’est pas ce vieil arbre créole qui ne semble pas avoir d’âge, qui me dira le contraire. Écoutons-le !
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